Se constituer un patrimoine immobilier, c’est se mettre à l’abri soi-même, ainsi que ses héritiers en cas de besoin financier. L’objectif est de voir évoluer et tirer du profit de cet investissement au fil des ans. Cependant, il faut être vigilent car ce patrimoine peut se constituer d’un ensemble de bien mais aussi de dettes.
Qu’est-ce que le patrimoine immobilier ?
On parle de patrimoine immobilier lorsqu’on veut désigner l’ensemble des biens immobiliers d’une personne. Il est à différencier du patrimoine financier ou du patrimoine professionnel par exemple. En effet, le patrimoine immobilier ne fait pas partie des actifs financiers.
En premier lieu, la résidence principale s’inscrit dans ce patrimoine. Au fil de la vie, ce dernier s’agrandit et s’étoffe avec l’acquisition de biens locatifs ou de résidences secondaires.
Les biens immobiliers pris en compte sont :
- les constructions de logement
- les appartements en copropriété
- les terrains à bâtir
- les forêts, champs et plantations agricoles
Quel genre de patrimoine immobilier acquérir ?
Avant de se lancer dans l’acquisition, il est primordial d’étudier avec précaution certains points. On pense notamment à l’emplacement géographique, la qualité de la construction actuel, la demande locative dans ce secteur. Ces critères permettent de déterminer le prix d’achat mais aussi le prix de revente afin d’effectuer une plus-value au moment venue.
Les tendances du marché
En France, l’immobilier est bien souvent considéré comme une valeur refuge concernant l’investissement. Il n’empêche qu’il suit les tendances du marché et subit aussi bien les hausses que les baisses de prix. C’est important de bien s’entourer, et de prendre certains conseils de professionnels comme les agences immobilières qui savent réagir dans n’importe quel situation.
Le profil de l’individu se doit d’être savamment étudié, ainsi que ses besoins, afin de trouver le meilleur investissement possible.
Les différents types de valorisation
Plusieurs possibilité s’offre aux ménages pour valoriser leur patrimoine immobilier, à savoir :
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- L’immobilier d’habitation : il concerne l’achat d’une résidence principale ou bien d’une maison secondaire.
- L’immobilier de rapport : ce dernier est utilisé dans le cadre d’une mise en location. Il permet de percevoir des loyers issus de la location du bien investi. Grâce à celui-ci, un complément de revenu est dégagé.
La fiscalité des revenus foncier est différente selon les régions de France. A Paris, par exemple, elle peut s’avérer très excessive et vous empêchera d’avoir la plus-value espérer. N’hésitez pas à vous faire épauler pour une gestion optimisée de votre patrimoine immobilier.
- L’immobilier commercial : il s’attache particulièrement à l’immobilier professionnel (bureaux, commerces, locaux d’activité). Dans ce cas, les investisseurs font l’acquisition d’immeubles de manière indirecte. C’est-à-dire qu’ils achètent des parts de Sociétés Civiles de Placement Immobilier.
- Les terrains à bâtir : suscitent de l’intérêt pour certains investisseurs afin de construire :
- leur résidence principale ou secondaire. Cette acquisition ne sera pas assujettie à la TVA immobilière, mais connaîtra d’autres obligations.
- des immeubles, qui ne sont pas destinés à l’habitation ou achetés par des professionnels pour en faire des immeubles d’habitation. Ces acquisitions seront soumises à la TVA immobilière.
- Les forêts, les champs et plantations agricoles : même si cela ne représente pas un immeuble ou une maison, ces investissements font bel et bien partis du patrimoine immobilier.
